Nathalie Blanc, l’élégance à la Française

Nathalie Blanc

La créatrice

Au-delà  de la marque et des tendances, se cache une femme de goût et de talent. Insatiable, exigeante, Nathalie Blanc possède avant tout le sens aigu de la belle lunette. Celle qui conjugue l’harmonie parfaite entre l’oeil, le style et la matière.

Des études d’opticien lunetier en poche, elle signe les collections d’optique pour les marques de prêt-à-porter Michel Klein et Swildens, et ses boutiques au top de la tendance habillent les regards avec attention.
Il y a quatre ans, Nathalie Blanc lance sa propre marque a  la mesure de son tempérament. Les montures made in France sont liftées comme une série capsule, fonctionnelles et de grande qualité pour souligner les regards tournés vers un horizon de luxe et de caractère ; celui de l’élégance à la française à l’image des hommes et des femmes d’aujourd’hui : sages et effrontés.
En Septembre 2018, lors du salon mondial de la lunette, la créatrice remporte le prix du jury de la plus belle collection de l’année, face aux grandes marques internationales.

Made in France

Nathalie Blanc

Nathalie Blanc Paris revendique l’excellence française. Toutes les lunettes dessinées dans nos ateliers parisiens sont entièrement fabriquées en Normandie et dans le Jura.
Nous sommes une marque 100% française ! Nos montures sont les héritières de cette excellence dont le berceau se situe au coeur des montagnes jurassiennes, dans les petites villes de Morez et d’Oyonnax...

Nathalie Blanc aime le répéter : « la fabrication de nos lunettes en France s’est imposée toute seule tant le savoir-faire lunetier français demeure indétrônable dans le monde. Lors de mes voyages en Normandie et dans les montagnes du Jura, je me rends dans ces ateliers pour chercher les acétates qui composeront mes lunettes. Il m’arrive de débusquer des plaques fabriquées après-guerre dans ces magnifiques usines de la région d’Oyonnax, La Mecque de la lunette française. Ces plaques sont d’une qualité extraordinaire et d’une beauté subjugante. Ce sont des matières nobles à base de fleur de coton et d’algue marine. C’est un matériau bio et recyclable. »

Aujourd’hui Nathalie Blanc Paris crée ses propres plaques d’acétate. Ces matériaux sont des pièces uniques, propriété de la marque. Ces plaques sont stockées dans des endroits gardés secrets. Elles sont usinées, taillées, galbées, polies pièce par pièce, comme on le fait depuis des siècles. L’étape du polissage de la monture est la plus spectaculaire. Chaque paire est plongée dans un tonneau de bois rempli de buchettes de hêtre. L’étape dure prêt d’une semaine.

Nathalie Blanc

La lunetterie française est issue à 80% de ces petites villes du Jura. Au coeur des montagnes, au fond des vallées, des dynasties familiales perpétuent une qualité artisanale et une créativité inestimables ! « Quand je prépare mes futures collections, je travaille avec mes fabricants sur chaque arrondi, chaque nez, chaque couleur, raconte Nathalie Blanc… Ces séances durent parfois huit ou dix heures. Mais le résultat est stupéfiant. Avec nos artisans lunetiers nous inventons les futures couleurs qui deviennent notre trésor de guerre… La propriété unique de Nathalie Blanc Paris.»

Les collections Nathalie Blanc Paris comptent aussi de nombreuses montures en métal. Élégants et épurés, ces modèles sont le fruit d’un travail aussi minutieux que complexe. Fabriquées intégralement en France, ces montures sont traitées à l’or fin 22 carats dans une usine de traitement du Jura, unique au monde. Chaque pièce de la lunette est travaillée à la main. Sublime petit détail : la spatule bicolore au bout des branches est assortie aux verres solaires.

Au fil des années, pour rester les meilleures du monde, les entreprises françaises ont dû se hisser au sommet de l’innovation. Elles ont dû investir en recherche et développement, moderniser leurs unités defabrication...

« Elles ont toujours été à mes côtés, souligne Nathalie Blanc. Notamment pour développer la qualité et l’originalité de nos verres solaires. Nous avons lancé des verres trigradés qui n’existaient pas, nous avons été les premiers à imaginer des verres photochromiques dégradés et nous venons de sortir des verres polarisants bidégradés, jamais vus sur le
marché. Nos demandes, très originales, poussent les usines à se dépasser. C’est dans cette confrontation entre le designer et le fabricant qu’on arrive à repousser les limites du possible : quand une solution technique émerge, ça change tout dans la monture : elle devient sublime. Ces longues heures dans ces ateliers sont les moments que je préfère dans mon métier. Tradition et modernité : l’excellence française que j’ai toujours rêvé d’incarner. »

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